lundi 4 avril 2011

Nike, I like

Nike / collection de vêtements "Be free".
Une belle campagne, de très belles photos. Pas besoin d'en rajouter !

Nike- Be Free


La nouvelle campagne

Nike fait graviter les corps dans sa dernière campagne de pub

dimanche 3 avril 2011

Et maintenant, la publicité conditionnelle.

Découvert avec intérêt, le concept de la "publicité conditionnelle" lancé par Figaro Médias.
Concept qui consiste à n'activer une campagne de communication sur internet que lorsque
certaines conditions sont remplies : la marque définit les conditions optimales de consommation
de ses produits ( Par exemple : la température pour les crèmes glacées, les précipitations pour les parapluies...). Et grâce à l'acquisition du site Météo Consult la régie ne délivre la campagne
que lorsque les conditions précises sont réunies.
Nombre d'annonceurs peuvent être interessés par cette approche : la grande consommation
(soupes, glaces, eaux...), l'hygiène (crèmes solaires, brumisateurs, déodorants...),
la santé (allergie, grippe, toux...), la distribution spécialisée (tondeuses, sports d'extérieur...),
les loisirs (parc d'attraction...), l'énergie (chauffage, énergies nouvelles...).

Fond d'écran, wallpaper orage


samedi 2 avril 2011

Nissan au Top !

Repérées, par MinuteBuzz, les campagnes géniales créés par Nissan.

Faisant référence aux clichés (en tous les cas, nous ne voulons pas imaginer
que c'est du 1er degré) qui font des hommes des amateurs de filles et de belles
voitures, la marque a mont  plusieurs opérations de communication, dans plusieurs pays.

1. La marque a envoyé de jolies filles déposer des vitrophanies sur les pare-brises
de Porsches pour inviter leur conducteur à essayer une Nissan GT-R ("si vous voulez la 
voir sous un autre angle venez l'essayer")...
Et ça marche puisque le nombre d'essais a augmenté de 23 % !




2. Le fabricant de voiture a également mis en compétition, sur plusieurs "caractéristiques",
son modèle Juke avec un mannequin





3. Enfin, la marque a piégé des automobilistes pour les inciter à essayer la Patrol SUV :
 la Patrol était garé en double-file, derrière une voiture cible, afin d'empêcher le propriétaire 
de repartir. Quand celui-ci arrivait et constatait que son véhicule était bloqué, il trouvait sur 
le pare-brise un mot lui proposant de déplacer la Patrol lui-même (les clés étaient le tableau de bord). 
Installé donc au volant de la Patrol pour la déplacer le propriétaire de la voiture bloquée 
entendait un message lui proposant un essai de la Nissan : 78 % des personnes ainsi piégées 
ont planifié un rendez-vous !

mercredi 30 mars 2011

Omo maousse costo

Souri, en découvrant sur Wibuzz l'opération de promotion imaginée par Omo.
L'idée, simplissime mais amusante, consiste à recouvrir des distributeurs de serviettes
en papier par un carton représentant une machine à laver miniature.
Ainsi, lorsqu'on tire pour prendre une serviette on a l'impression de sortir des draps
blancs du tambour avant de la machine... Il suffisait d'y penser !

mardi 29 mars 2011

DD et automobile sont-ils antinomiques ?

Développement durable et automobile peuvent-ils vraiment faire bon ménage ?
En tous les cas, afin de réduire son impact carbone, le constructeur Volkswagen
diffuse un spot publicitaire entièrement réalisé au stylo bille....



VOLKSWAGEN BLUE MOTION from LES FILS DE on Vimeo.

lundi 28 mars 2011

Chine : pub censurée pour cohésion sociale assurée !

Lu sur Trends.be et sur rtbf.be, deux articles sur la censure des publicités en Chine :
s'alarmant du fossé grandissant entre riches et pauvres, Pékin a interdit toute publicité
vantant un style de vie trop luxueux et a banni des mots comme "royal, luxe, suprême, classe".
La ville de Chongqing est allée plus loin en interdisant même les mots "meilleur, unique,
irremplaçable" des publicités immobilières.

Le gouvernement espère ainsi corriger le "culte des produits étrangers" et stopper le
climat "malsain" généré par ces publicités. Tout contrevenant s'expose à une amende
pouvant aller jusqu'à 3.400 euros.


Le Premier ministre Wen Jiabao a expliqué au début du mois que l'objectif essentiel du plan
quinquennal 2011-2015 qui vient d'être adopté est de «résoudre le problème des inégalités
de revenus». D'où cette décision.

dimanche 27 mars 2011

La machine à rêver...euh, à voyager de la SNCF

Rêvé, en découvrant la machine à voyager de la SNCF.

L'opération organisée avec l'agence DDB consistait, dans un premier temps, à animer 
la communauté Facebook de la marque à l'honneur en organisant un concours photo.
Les participants étaient ensuite invités à se rendre en plein centre de Paris pour découvrir
l'étrange machine.

Sur place, 3 d'entre eux ont gagné le voyage de leur rêve en  Angleterre,en  Laponie et
en Afrique du Sud.


samedi 26 mars 2011

Print et création : des idées, des idées


Décidé, maintenant que notre TPE est terminé, de continuer ce blog en élargissant son thème
sur la communication.

Après avoir mis à l'honneur des créations d'affichages, nous restons aujourd'hui sur des
remarquables mais, cette fois-ci, en magazine. Parmi nos préférées relevées sur un
site US (à découvrir en cliquant ici) :

Des annonces créées en Chine.












Une annonce créée aux USA



Une annonce venue d'Australie

dimanche 20 mars 2011

Affichage et création : un exercice difficile

Jugé difficile, l'exercice qui consiste à faire passer une idée en une image et en très peu de mots sur les affiches publicitaires. Néanmoins, certaines agences proposent des créations vraiment marquantes et efficaces.
(Ce sujet n'a bien évidemment aucun lien avec les réseaux sociaux mais, comme nous vous l'avions annoncé, notre dossier est maintenant finalisé et nous travaillons sur l'oral que nous passons cette semaine. Alors, un peu de fun est bienvenue).

Pour partager nos coups de coeur, nous avons pioché des créations sur le blog Publiz, sur Top-10 et autres sites...

Les affiches tops :

Durex


Lego (vive l'imagination)


FedEx (on a l'impression que les cartons s'ouvrent selon l'angle)



Les affiches Bof :

thumbs 20110301 22 Les 10 plus belles affiches publicitaires réalisées sous Photoshop (Mars 2011)

thumbs 20110301 23 Les 10 plus belles affiches publicitaires réalisées sous Photoshop (Mars 2011)


Et un clin d'oeil à notre thème préféré (deconnect for a while. Read a book)

mercredi 16 mars 2011

La presse donne la part belle aux réseaux sociaux

Reconnue, la place prépondérante des réseaux sociaux dans nos existences, par les titres de la presse traditionnelle. Non seulement ils les citent et les analysent mais ils les reconnaissent également comme source d'informations. Les titres de la presse traditionnelle se sont ainsi appuyés -entre autres - sur les informations diffusées par les réseaux sociaux pour relayer les mouvements récents dans les pays d'Afrique du Nord.

dimanche 13 mars 2011

Youtube qui rit, Myspace qui pleure

Impressionnés, par les chiffres de Youtube, fililale de Google  :
- 550 millions de visiteurs uniques dans le monde (chaque mois)
- 21 millions de visiteurs uniques en France
- 2 milliards de vidéos vues tous les jours
- 35 minutes de vidéos mises en ligne chaque minute
- La moitié des visiteurs a plus de 35 ans (à égalité hommes / femmes)

Des chiffres d'autant plus remarquables que, d'après une étude menée par Idate, la publicité sur les sites de vidéos en ligne devraient progresser de 54,4 % par an en moyenne pour représenter en 2014 13 % de la publicité investie sur internet (soit 11,2 milliards d'euros).



Youtube annonce donc qu'elle va embaucher 30 % de salariés en plus (actuellement 800 salariés au siège) quand Myspace annonce plus de la moitié de ses salariés, soit 500 personnes.

Pour aller plus loin, outre le site youtube.com, découvrez les autres présences sur :
- Twitter
- Facebook

mercredi 9 mars 2011

Idées et créations

Découvert sur Publiz, le classement Wikio du Top 20 des blogs marketing au mois de mars. Le trio de tête : Le Publigeekaire, Emarketinglicious et Conseilsmarketing.fr

Mais avant d'aller explorer ces nouvelles sources d'inspirations, découvrez un article de Publiz qui nous a plu : "15 publicités sur des passages piétons". Pour vous donner envie, nos créas préférées... Le reste à découvrir en cliquant ici






mardi 8 mars 2011

Journée de la femme en Pub

En ce 8 mars, nous avons repris quelques pépites de la publicité pour leur souhaiter à toutes une excellente "journée de la Femme".


Même les hommes sont d'accord pour dire...


















... Et pourtant ils ne leur réservent pas un quotidien toujours plaisant ni à la maison...



... Ni au travail.



Et les femmes se laissent parfois impressionner...



... Par ces machos.



Alors, pour la Journée de la Femme, nous souhaitons à toutes les femmes que
 leurs voeux se réalisent

lundi 7 mars 2011

Les grandes entreprises sur les réseaux

Trouvée, la page Facebook de Burson-Marsteller qui regorge d'informations intéressantes sur les réseaux sociaux... et l'interview de Philippe Pailliart, PDG de l'agence.

Il revient sur une étude réalisée au niveau mondiale par Burson-Marsteller :

- Les grandes entreprises internationales sont très actives sur les réseaux sociaux : 84 % des 100 premières entreprises du classement Fortune sont présentes sur au moins un réseau et 25 % sur les 4 réseaux principaux (Facebook, Twitter, Youtube et les blogs).

- Les entreprises asiatiques sont en forte progression en terme de présence (+34 % en un an) alors que les européennes et les américaines stagnent (à 89 et 84 % respectivement quand même !).

- Twitter est le grand gagnant : 78 % des grandes entreprises internationales y sont présentes contre 61 % sur Facebook, 55% sur Youtube et 35% ont un blog. L'agence explique cela par le fait qu'il est plus facile d'être techniquement présent sur Twitter et que ce réseau permet de cibler ses conversations.





 

samedi 5 mars 2011

Une pub tout terrain

Trouvée sur le blog dailygeekshow, une publicité (de 2min 23 ! ) de Samsung qui fait vivre un enfer à ses cartes mémoires pour prouver leur solidité :

vendredi 4 mars 2011

Quand la mode parle nouvelles technologies et non scandale

Remarquée, la vidéo postée par Marcel (agence de communication) pour présenter l'application développée pour la vitrine parisienne de Repetto et qui utilise, pour la première fois en France, la technologie de détection de mouvement (Kinect) pour une boutique.
C'est à l'occasion de la Fashion Week de Paris que la marque a mis en place sa vitrine interactive, rue de la Paix. Les passants doivent se positionner dans un cercle dessiné sur le trottoir pour pouvoir, d'un simple geste de la main, changer le décor de la vitrine et voir défiler cinq tableaux différents de danseuses.

Et, nous, on préfère cette image de la mode que le scandale Galliano

Repetto - Vitrine interactive from Marcel on Vimeo.

mercredi 2 mars 2011

Et si Twitter vous faisait perdre votre emploi ?

Relevé, un article sur Eco89 (à lire en cliquant ici) qui explique comment un employé a perdu son boulot quasi immédiatement après qu'un Twitter ait été envoyé à Nespresso par un client qui se plaignait d'avoir attendu 25 min avant d'être servi.
L'histoire fait le tour de la toile mais Nespresso ne semble pas vouloir expliquer cette décision très rapide : la réactivité serait-elle à 2 vitesses chez Nespresso ?

mardi 1 mars 2011

Hommage à A.Girardot sur les réseaux sociaux

Lu sur le site de TV5 un article qui montre comment les commentaires sur Annie Girardot ont envahi la toile dès l'annonce de son décès, le lundi 28 février :
- 15h42 : dépêche de l'AFP annonçant son décès
- 15h43 : premiers tweets
- 16h00 : création d'une page Facebook "Hommage à Annie Girardot"
- 16h54 : mise à jour de sa page Wikipedia (annonce de son décès)

- Le sujet devient rapidement parmi les plus twittés en France d'abord, puis dans le monde et renvoie souvent vers des vidéos sur Youtube.
- Son patronyme devient un mot-clé, précédé du #Girardot et accolé à #RIP (Rest in Peace)


lundi 28 février 2011

Dark Vador à l'origine des problèmes de Toyota ?

Adorée, la publicité de Wolkswagen présentée lors de la finale du Superbowl... et aimée, la parodie qui s'attaque à Toyota et aux problèmes techniques de ses voitures.

Tout cela n'a pas beaucoup de relations avec les médias sociaux (pour ne pas dire aucune relation) mais nous venons de finir la rédaction de notre dossier alors nous allons prendre quelques libertés et nous faire plaisir avec des coups de coeur sur des opérations de pub... avant de nous mettre à préparer notre oral.

Voici donc le teaser Wolkswagen :




La pub d'origine toujours aussi plaisante à voir :





Et sa parodie :

vendredi 18 février 2011

Bonnes vacances à ceux qui en ont !

Appréciées, les vraies vacances qui démarrent ce soir... Sans musique ringarde !
Rendez-vous le 28 février sur notre blog. Et pour ceux qui ne partent pas, un petit tube grâce auquel vous apprécierez de rester bosser.

mercredi 16 février 2011

Un peu de poésie avec Issey

Étonnés, par l'opération d'Issey Miyake qui utilise Dailymotion pour promouvoir la sortie de son nouveau parfum... Peut-on vraiment transmettre les mêmes émotions avec des images qu'avec des senteurs ? A vous d'en juger !

La marque a posté sur Dailymotion un carnet interactif qui permet aux internautes de découvrir l'univers de L'Eau d'Issey Florale.


Les internautes peuvent également, s'ils acceptent de donner accès à leur micro et à leur webcam, créer leur propre haïku (poème japonais) et le partager avec leurs amis.

lundi 14 février 2011

Nicolas Bordas, suite et fin



Interviewé, Nicolas Bordas, président du groupe TBWA\France...

... Et, comme promis, voici donc le troisième et dernier post résumant ses propos.



Notez-vous des différences importantes sur l’utilisation des réseaux sociaux par les marques dans les 
autres pays ? Lesquels ?
    
     Comme souvent, les américains sont plutôt en avance.   
     Pour moi il y a une opération qui est probablement l’expérimentation la plus étonnante et
     la plus puissante d
’usage des réseaux sociaux pour une marque, c’est le « Pepsi Refresh
     Project ».
  
 (découvrir le site en cliquant ici ou l'opération présentée par Culture Pub, au sommaire, en cliquant ici ). 

     Il y a un an aux Etats-Unis, Pepsi a décidé, pour la première fois depuis 30 ans, de ne pas faire
     de film publicitaire traditionnel pour le SuperBowl, grande finale du football américain.
     Les grandes marques lancent leurs nouvelles campagnes à l’occasion de cette finale parce que
     c’est un moment où il y a beaucoup de téléspectateurs :  90 millions de téléspectateurs
     américains devant leurs télé. C'est pourquoi cette finale est devenue 
une espèce de vitrine, de
     concours pour les meilleures pubs 
(voir l'article complet "Et si le Superbowl 2011 consacrait la
     publicité 2.0 ?" sur le blog 
de Nicolas en cliquant ici)
     Et, parce que les écrans publicitaires rivalisent de créativité, les gens regardent les pubs avec plus
     d’attention (ils ne zappent pas ou ne font 
pas autre chose). 

     Donc, Pepsi a décidé de ne « pas aller au SuperBowl » et de mettre plus d’argent dans une
     opération sur les réseaux sociaux. Cette opération consiste à offrir chaque mois une dotation
     de 2 millions de dollars pour une dizaine de projets caritatifs. Ces projets sont proposés par des
     individus qui demandent à leurs amis ou à leurs followers sur Twitter de voter pour leurs projets. 
     Ainsi, chaque mois, les gens déposent des projets  (je veux repeindre mon école, je veux
     nettoyer une plage..).
     Pendant 30 jours ils font voter leurs amis. Le gagnant est celui qui a le plus de votes.
     Les gagnants s’engagent à réaliser leur projet dans les 12 mois qui suivent (sinon ils ne touchent
     pas le solde de l’argent mais gardent les 50 % versés quand ils sont déclarés gagnants).
     On voit donc comment une marque, à un moment donné, décide de mettre un peu moins
    d’argent en publicité traditionnelle pour lancer une opération qui est résolument moderne
    puisqu'elle croise deux fondamentaux de l’évolution générale de la relation entre les marques
    et les gens : le digital mais aussi une dimension majeure que j’appelle la
    «Corporatisation ». La "Corporisation" répond aux enjeux sociétaux des entreprises, au rôle
    qu'elles doivent jouer au sein de la société. Il s'agit de l'autre mouvement de fond que l’on voit
     partout.  
     Aujourd’hui on ne peut plus vendre une voiture sans parler environnement, on ne peut plus
     vendre un produit  alimentaire sans parler nutrition/obésité, bientôt on ne pourra plus vendre
     un téléphone sans parler santé avec les ondes etc. 
     Avant il y avait d’un côté le business et de l’autre côté le sujet de responsabilité sociétale.
     Aujourd’hui cette responsabilité sociétale est devenue un sujet important. C’est une très bonne
     chose et du coup toutes les entreprises, dans tous les secteurs, sont aujourd’hui en train de
     réfléchir à ça et c’est un mouvement assez massif. 
     Ce qui est donc intéressant dans l’opération Pepsi c’est qu’elle croise « digital » et
     «corporatisation ».

    Sinon je pourrais citer des opérations un  peu rigolotes et intéressantes (sans aucun objectif
    sociétal) : Skittles est un très bon exemple.
    Il y a des campagnes de communication anglaises qui ont fait battre à Skittles le record du
    nombre des fans sur Facebook et il y a toute une série d’opérations dont une assez marrante qui
    consistait à, à la manière d’un magicien assez connu chez les anglo-saxon, à chaque fois qu’on
    cliquait « j’aime » sur la page Skittles à faire apparaitre des Skittles qui engloutissaient un
    magicien enfermé dans un truc.
    Ils ont fait d’autres choses assez rigolotes donc je trouve que pour un usage efficace  et
    très fun des réseaux sociaux, Skittles UK est un très bon cas.
Afficher l'image en taille réelle
 Remarque :  Skittles a aujourd'hui plus de 15 millions de fans sur Facebook.


dimanche 13 février 2011

Un réseau social scientifique et technique

Découvert, Knowtex, "le réseau social de la culture scientifique et technique".

Depuis son ouverture, nous n'avons parlé sur notre blog que de réseaux Grand Public à vocation d'échanges entre particuliers (Facebook, Twitter...), même si certains concernent davantage les relations professionnelles, mais toujours entre Particuliers (LinkedIn, Viadeo par exemple). 
Avec ce site, nous découvrons que les réseaux sociaux peuvent être plus ciblés : nous sommes loin des photos de vacances et des vidéos de chat qui grimpent au rideau. Ici, on parle d’hydrologie, de biodiversité, de réalité augmentée, de serious gaming. Il s’agit en fait d’un agrégateur de contenus (16.874 liens) , mais avec une sélection et une organisation intéressantes.

Le site s'intéresse à des sujets très divers, les uns à portée de tous. Par exemple, à la une en ce moment, un présentation du studio NOCC : de jeunes stylistes qui "
maîtrisent les technologies les plus récentes et qui créent aussi bien une chaise mutante qu'un kit de mobilier en carton signé Darwin ou encore des objets à partir d'ondes sonores".






Autre exemple, avec un sujet au centre de l'actualité : "Alors que le monde de l’édition cherche à inventer le livre numérique, la designeuse allemande Maria Fisher fait le cheminement inverse, en introduisant la notion de liens hypertextes dans un livre papier". (article complet à découvrir en cliquant ici).

D'autres articles, en revanche, sont plus pointus, comme celui sur les relations entre chimie académique et chimie industrielle. « Notre but est de faire découvrir et dialoguer les gens sur la science. » affirme Marion Sabourdy, community editor. Mais, en définitive, on y trouve aussi des sujets qui intéressent même ceux qui ne sont pas des spécialistes des sciences.

samedi 12 février 2011

Encore un faux pas d'un labo ?

Écoutés, nos parents qui ne cessent de nous répéter que nous DEVONS lire des journaux pour avoir une bonne culture générale, culture générale ABSOLUMENT nécessaire à notre avenir.

En ados modèles, nous suivons donc les sites des quotidiens... et avons trouvé un article qui nous a fait sourire. Il ne parle pas de réseaux sociaux (nous ne sommes pas totalement obnubilés par ce seul sujet) et pour fêter le début du week-end et des vacances, nous partageons avec vous cette découverte qui ne redore pas le blason des laboratoires pharmaceutiques...

A l'origine, une publicité Orangina interdite à la télé car faisant un peu trop référence à des pratiques sado-masochistes




Puis, idée un peu "saugrenue" du Laboratoire pharmaceutique Lilly, un détournement de cette pub pour motiver les visiteurs médicaux (représentés par la panthère) à faire la promotion d'un médicament contre la schizophrénie... pas sûrs que les médecins apprécient ce type d'humour ! Vidéo détournée et article complet à découvrir directement sur le site de Libé en cliquant ici.


vendredi 11 février 2011

Patrick Russo parle des réseaux sociaux

Entendu, le point de vue de Patrick Russo, Directeur de la communication du groupe Laser-Cofinoga et administrateur du Club des Annonceurs, sur la présence des marques sur les réseaux sociaux : une stratégie qui doit combiner humilité et vigilance sans oublier l'établissement d'une véritable conversation avec les internautes.

mercredi 9 février 2011

Nicolas Bordas, la suite...


Interviewé, Nicolas Bordas, président du groupe TBWA\France
Hier, il s'exprimait sur l'arrivée et les évolutions des réseaux sociaux, aujourd'hui il nous donne son avis sur la présence des marques au sein de ces mêmes réseaux.




TSMG : Quand on parle des marques sur les réseaux sociaux, cela se résume le plus souvent à Facebook, Youtube, Twitter. Pensez vous que cela va changer ?

      NB : Ça dépend des pays mais c’est vrai que Facebook est dominant dans beaucoup de pays et les
      marques utilisent les médias les plus puissants.Facebook et Youtube étant très puissants,
      aujourd’hui on utilise ces 2 réseaux. Si d’autres médias puissants se développaient, les marques les
      utiliseraient et s’adapteraient à chaque fois aux évolutions.  Les marques continueront d’utiliser ce
      qui marche, les canaux les plus puissants si elles veulent toucher un large public.
      Aujourd’hui je pense que la géo-localisation est une fonctionnalité majeure qui va transformer les
      usages mais on en est vraiment au tout début de ce que l’on peut faire avec ce type d’application.   


TSMG : Quelles sont pour vous les limites des présences des marques au sein des réseaux sociaux ?

      NB : Quand une marque agit dans la blogosphère ou sur internet c’est à la fois une opportunité et
      un risque.
      Elle entre dans une logique de conversation et ce qui la caractérise c’est qu’on a changé cette logique
      d’émetteur/récepteur. Le récepteur renvoie un feedback qu’il faut gérer. Les entreprises ne sont pas
      forcément bien équipées pour être capable de piloter et de gérer  positivement et de manière
      constructive une conversation avec des gens qui ont le droit de ne pas être contents, parce que
      personne n’est parfait et il y a très peu de marques qui arrivent à être irréprochables. Internet donne
      globalement la voix aux gens qui ont des problèmes, qui ne sont pas contents et qui ont des raisons
      de se plaindre. Donc pour utiliser les réseaux sociaux et investir sur internet pour rentrer  dans une
      logique de conversation est certes une opportunité pour une marque mais c’est aussi un risque.
      En effet, il peut arriver qu’à un moment donné elle ne puisse pas sortir la tête haute, avoir raison.
      Et là, la marque ressort de la conversation plutôt en mauvais état. Je pourrais citer l'exemple de
      Greenpeace contre Nestlé (nous détaillerons la bataille que se sont livrés Geenpeace et Nestlé sur les
      réseaux sociaux dans un prochain article. En attendant un petite vidéo qui résume le sujet...)




      
       Ce type de situations est compliqué pour les entreprises parce qu’elles n’ont pas  appris à les gérer,
       elles ne sont pas organisées pour ça.
       Autre exemple : les très grandes entreprises mondiales, avec des filiales, ne sont pas forcément
       capables de répondre à Paris à une question qui se pose à New York et pourtant, avec internet,
       tout remonte à toute vitesse de tous les pays. Mais c’est surtout  leurs organisations qui rendent
       difficiles cette réactivité. Elles sont souvent très verticales, avec d’un côté les gens qui s’occupent
       des produits, d’un autre côté ceux qui s’occupent de la finance, d’un autre encore ceux qui
       s’occupent du marketing…Tous ces gens  ne se parlent pas toujours beaucoup et ces entreprises ne
       sont pas habituées à avoir le rythme et la réactivité que nécessitent les conversations. Il y a donc une
       vraie difficulté aujourd’hui et demain pour les marques à avoir le bon discours et à limiter les risques
       parce qu’en rentrant dans cette logique interactive elles prennent le risque d’un feedback négatif qui
       peut être amplifié par le réseau de la personne.


TSMG : les marques et les internautes entretiennent une conversation ou est-ce un monologue des marques ?

       NB : Entre eux, il n’y a pas de doute qu’ils entretiennent une conversation.
       La manière dont les marques s’insèrent dans le système est parfois très maladroite.  Elle est parfois
       très réussie, mais souvent très maladroite puisqu’il faut, quand on communique, avoir l’empathie de
       l’endroit où on est, de ce que l’on appelle la politesse de l’intrusion. Il y a une très jolie phrase qui
       dit « pourquoi est ce qu’il faut que la pub soit créative à la télévision ? C’est parce que quand
       on s’introduit tous les soirs dans le diner des français, il faut au moins les faire sourire ou leur donner
       un moment d’émotion». Il y a donc une question d’empathie. 
       Les marques qui ont compris cela s’insèrent dans les réseaux de manière super naturelle, sans que
       les gens les jugent intrusives. C’est le fameux exemple du buzz français Tipp’ex avec sa campagne
       sur les ours : c’est fait de manière sympa, fraîche. Si vous êtes sur Facebook vous l’avez vu 50 fois
       sur votre mur, c’est presque énervant ! Mais c’est bien, c’est positif , ça a créé du buzz
       (Remarque de TSMG : 15 millions de vues sur Youtube !)




       En revanche,  il y a des marques qui vont se créer stupidement une page Facebook sur laquelle il ne
       se passe rien en vous obligeant à devenir fan la première fois que vous vous connectez alors que vous
       savez même pas ce qu’il y a derrière. Et une fois que vous êtes fans, elles vous arrosent
       de messages qui vont vous énervent.


       Il y a donc de tout, du bien et du moins bien, mais petit à petit ça va converger vers ce qui marche et
       comme les marques qui font des trucs pas terribles vont être « punies » au sens ou elles n’auront pas
       d’amis, elles vont apprendre progressivement à faire mieux. 

mardi 8 février 2011

Interview exclusive de Nicolas Bordas

Interviewé, Nicolas Bordas Président du groupe TBWA\France.

Et oui, malgré ses nombreuses activités, malgré toutes les sollicitations de ses fans (plus de 4900 amis sur Facebook ... dépêchez-vous si vous voulez en être puisqu'il sera bloqué à 5000, 5500 abonnés sur Twitter), malgré toutes ses interventions (dernière intervention repérée :  NetExplorateur 2011), il nous a reçu pour nous  donner sa vision sur les réseaux sociaux...

Et si nous avions de la chance ? Nous la partagerions. Et c'est ce que nous faisons maintenant en vous publiant ses premières réponses (il faudra attendre demain pour avoir la suite...).

TheSocialMediageneration (TSMG) : Comment peut-on expliquer le succès phénoménal des réseaux sociaux ?

        Nicolas Bordas (NB) : La technologie a apporté aux gens une nouvelle façon de pouvoir communiquer
        et cela correspond profondément à ce qu’ils attendaient. D’ailleurs, ce qui est amusant,  c’est que le
        succès de cette nouvelle façon de communiquer aujourd’hui démontrée par Facebook à l’échelle
        mondiale avait déjà été démontrée par le Minitel en France bien avant.

        En fait, l’usage principal des avancées technologiques se concrétise par des outils de mise en
        relation, de communication. Ces outils permettent de communiquer avec les gens qu’on aime et,
        contrairement à ce que certains affirment, il n’y a pas d’un côté ceux qui sont dans la vraie vie et de
        l’autre ceux qui seraient un peu dans le fantasme, dans une vie virtuelle. Ça a été un peu le cas au
        début (Second Life était un bon exemple de cette rupture entre la vraie vie et une vie virtuelle, off-line
        et le on-line) mais l’accès à ces nouveaux modes de communication est de plus en plus facile avec
        l’équipement croissant en ordinateurs, le haut-débit, l’accès mobile à internet  avec les
        smartphones, les iPhones et iPads. Ces nouveaux modes de communication accompagnent
        dorénavant les gens en permanence, partout.
        Et ce qui était une bulle digitale est entré dans la vraie vie, créant des occasions supplémentaires
        de rester en contact avec ses amis.  Et on constate que les gens qui sont les plus actifs sur les
        réseaux sociaux sont aussi ceux qui sont les plus actifs dans la vie.
        Ceux qui ont le plus d’amis sur les réseaux sociaux sont ceux qui ont le plus d’amis dans la vie.
        L’un ne remplace donc pas l’autre mais l’un vient en complément, en renfort de l’autre.

        Les réseaux sociaux correspondent, de mon point de vue, à un besoin entre l’intimité pure et l’image
        que je donne à l’extérieur. Il s’agit d’une relation un peu intermédiaire que certains appellent l’extimité
        (cf l'extimité définie par le psychanalyste Serge Tisseron sur Wikipedia) et  cette intimité
        extériorisée qui est  une sorte de libération pour beaucoup de gens.
        Et c’est pour cette raison que les gens s’en servent et s’en servent durablement.

        Je vous rappelle qu’avant qu’existent tous ces services, l’usage principale d’internet  était les mails.
        Facebook a juste apporté  une nouvelle manière de communiquer,  plus fun, plus ludique, qui permet
        d’échanger des photos de manière plus simples, de les détaguer… etc.  Mais au fond ça n’est
        jamais qu’une forme de communication mail ultra améliorée. Il y a ce coté léger, ludique de
        contact avec sa « tribu » en quelques sortes.


TSMG : En quoi l’apparition des réseaux sociaux a modifié la publicité sur internet ?

      NB : Ce sujet est un point absolument majeur dont on ne vit aujourd’hui  que le début.
      Nous vivons une période de changement radical : historiquement, les marques communiquaient à des
      clients donc via tous les points de contacts possibles et imaginables. Sur un marché donné, une
      marque a – en moyenne- 50 points de contact pertinents. Elle était toujours dans une posture
      « descendante »  (je m’adresse à un client, j’envoie mon message) et l’effet attendu par la marque
      était  d’influencer le comportement d’achat d’un client ou d’un prospect.

      Le client restait systématiquement extérieur à la marque. Il y avait cependant quelques exceptions
      rarissimes. Par exemple, Tupperware a  inventé, il y a plus de 50 ans, un modèle différent. Celui-ci
      consistait à transformer les clientes en ambassadrices de la marque : les Tupperwares ne pouvaient
      être  achetés qu’au cours de réunions que des ménagères organisaient chez elles.  



     
  A part cette exception et pour simplifier  on peut dire que, généralement, l’objectif attendu de la
       communication  d’une marque était de faire en sorte que les gens achètent ses produits   

       Subitement, avec  l’arrivée des réseaux sociaux, les consommateurs ne sont plus simplement des 
       cibles qui reçoivent des messages mais ils deviennent des médias à part entière. Ils ont un pouvoir
       de relais. Bien-sûr, ils l’ont toujours été un peu  grâce au bouche à oreille mais internet permet
       aujourd’hui, à faible coût et facilement, d’activer ce pouvoir de recommandation et de permettre
       aux gens de devenir des ambassadeurs de la marque. Ils ne sont plus simplement  des cibles dont
       on attend seulement un acte d’achat ou - très occasionnellement - de dire du bien de la marque, ils
       deviennent aussi des relais des messages de la marque puisqu’ils vont pouvoir diffuser un film qu’ils
       trouvent sympa, relayer des informations, affirmer leur attachement à la marque ou à une de ses
       initiatives (le « like » de Facebook)…


      En réalité, le grand changement est que les consommateurs qui recevaient des messages de la
      marque au travers des médias historiques juste pour acheter des produits deviennent subitement,
      eux-mêmes, des médias et font presque partie intégrante de l’entreprise. Les marques doivent donc
      désormais considérer que leurs publics sont aussi des ambassadeurs qui vont pouvoir relayer des
      messages tout en achetant des produits.
 
     C’est vraiment un changement de posture majeur de considérer les gens qui aiment votre marque
     comme des gens qui vont pouvoir être des relais très influents sur les autres. Les marques qui l’ont
     compris sont les marques jeunes. En effet, l’amour de certaines megabrands ( grandes marques
     mondiales telles que Coca, Pepsi..) est plus fort en moyenne chez les jeunes.
     Par ailleurs, cette capacité à comprendre le système, à l’adopter, à en jouer, à rediffuser et à faire
     buzzer les trucs marche plutôt mieux chez les jeunes.
     Un certain nombre de marques l’ont compris et ce sont  celles qui ont globalement , aujourd’hui,
     le plus de fans sur leur pages ou activent le plus avec des opérations étonnantes leur base de fans
     et ça c’est nouveaux.

lundi 7 février 2011

Succès pour Baume et Mercier

Remarqué, le succès de l'opération "VSR, Very Special Reporter" lancée par Baume & Mercier à l'occasion du SIHH (Salon International de la Haute Horlogerie) du mois de janvier.

En 2010, la marque lance un feuilleton historique, façon journal intime, sur Twitter (@baumeetmercier) et Facebook.L'histoire de la Maison à travers le regard d'un de ses fondateurs plait aux aficionados: les vidéos sont vus plus de 2 millions de fois, tous supports confondus.



Le dialogue commence donc à s'installer avec les fans.
En novembre 2010, B & M revient sur le devant de la scène au sein des réseaux sociaux : son CEO, en personne, invite les internautes à poste une vidéo témoignant de leur attachement à Baume et Mercier. Les 2 sélectionnés, tous deux américains, sont devenus les envoyés spéciaux pour partager leurs regards sur le salon avec le reste de la communauté.



Les résultats de cette campagne sont en ligne avec les objectifs que s'était fixée la marque :
- 25.000 fans supplémentaires rejoignent la page B & M en deux mois (plus de 100.000 fans "recrutés" depuis l'ouverture de la page, soit en un an environ),
- Plus de 10.000 followers sur Twitter

La marque se dit satisfaite de ces résultats et précise qu'elle ne créera jamais d'opération pour obtenir les données personnelles des fans (non conforme à l'image d'une marque de luxe) et qu'elle ne multipliera pas les opérations afin de ne pas encombrer le fil d'actualité des fans, pour ne pas être trop intrusive... Les internautes n'ont plus qu'à lui dire merci !

dimanche 6 février 2011

Etes-vous addict aux réseaux sociaux ?

Lu sur le blog B2C un petit article qui vous permettra de savoir si vous avez une addiction aux réseaux sociaux, article que nous avons un peu revu... A priori, si vous avez cliqué sur le lien Twitter c'est que vous avez une petite idée sur la question, non ?

Mais pour être sûr de votre addiction (ou de votre non-addiction), répondez par oui ou par non aux affirmations ci-dessous :
1.   Je commence ma journée en me connectant à internet. 
2.   Je passe plus de temps en ligne qu'à dormir.
3.   Je retweet parfois des tweets qui n'ont aucun sens. 
4.   Je tweete ou je poste tout ce que je fais, même si personne ne me le demande. 
5.   Mes followers et mes amis FB savent toujours où je suis car je le dis à mon réseau. 
6.   J'ai un compte sur au moins 3 sites de networking et je m'y connecte chaque jour que Dieu fait. 
7.   Je mémorise les sujets tendances sur Twitter.
8.   J'ai plusieurs listes et groupes d'amis.
9.   Je poste des infos en même temps sur tous mes comptes sur différents .
10. J'ai déjà tweeté "Je n'utiliserai jamais Twitter", ou posté  "Je ne poste pas sur FaceBook". 
11. Je commente des status qui ne nécessitent aucuns commentaires, juste pour commenter.
12. Je suis encore en train de lire ce test.   
13. J'utiliseTwitter en réunion et je tweete sur la réunion avec d'autres participants. 
14. J'utilise Facebook plus souvent que le langage SMS. 
15. Je ne suis pas d'accord avec vous si vous me dites que je suis un accro des médias sociaux.


A partir de 5 "oui" vous devriez démarrer une réhab, partir en vacances dans le désert, vous inscrire aux "Social medias addicts anonymes"... ou assumer :

samedi 5 février 2011